Nées le 26 Janvier ! Comme nous !

Oh, au fait, c'est notre anniversaire, dans le monde réel... et tu noteras que je le passe à vous regarder créer des bébés. Je voulais un petit mec, d'ailleurs... m'enfiiin ~

Saï : ...

T'es chiant, que je te dis-je.

Le présent est quand même vachement plus beau, hein. T'as vu comment le décor est enchanteur ?

... hé, ton copain se barre sans t'aider à mettre les filles dans leur berceau respectif.

Saï : Attends, quoi ?

Bon, ben, bonne chance ~

Saï : Mais je suis pas prêt, moi !

Si tu crois que je vais ne serait-ce qu'essayer de t'aider, tu te fourres le doigt dans l'oeil. Et profond. Jusqu'au coude.

Ben tu vois, c'est trop facile.

Saï : Hum.

... de quoi tu te plains, encore ? C'est instinctif, chez vous. Tu me vois arriver à m'occuper d'un bébé en deux minutes chrono ?

Saï : Et t'aurais pas pu me le dire ?

S'il te plaît, ne nous disputons pas devant la petite ~

Saï : Et ça se fout de ma gu-moi en toute liberté, en plus.

J'ai rien de mieux à faire, faudra faire avec.

... sinon, tu veux pas me les présenter ?

Saï : Non.

Tu m'énerves.

Saï : Tu permets, je mets ma fille rose au lit.

Et la fille jaune, elle est où ?

Saï : Dans son berceau. En train de dormir.

Ah.

Saï : Oui.

Okay... erm... oh, tiens, Gebriel est arrivé !

Gebriel : C'était pas trop dur, tout seul, avec les filles ?

Saï : « J'aurais quand même vachement apprécié que tu restes deux minutes de plus pour m'aider à les mettre au lit, tu vois »

Gebriel : Je sais, je suis désolé ! Mais le car était là, je devais y aller.

Saï : « Et moi je travaille, ce soir, et j'ai pas pu dormir parce que t'avais pas pris le temps. Merci »

Gebriel : Pars pas comme ç-Saï !

T'es vachement irritable, quand t'as pas dormi, quand même.

Saï : C'est mon droit.

Certes. Je débattrai pas avec toi là-dessus, je disais juste.

Saï : C'est bon, t'as fini de me critiquer ? J'ai ce droit de dire aux personnes que je côtoie quotidiennement si elles ont fait un truc qui m'a dérangé. Tu voulais que je le boude jusqu'à ce qu'il me demande ce que j'avais ?

Non, bien sûr que non... va dormir quelques heures, Gebriel aura pas le choix de s'en occuper.

Oh, t'es réveillée ? Quoi ? Non pleure paaas... Saï !

Saï : Quoi ?

Ta fille s'époumone.

Saï : J'ai entendu. Je suis en train de m'habiller, je mets mon pantalon et j'arrive.

T'as pas mis ta magnifique veste en cuir ?

Saï : J'ai dû demander ma soirée de congé, Gebriel avait une urgence médicale.

Donc - peu importe comment t'a fait pour annuler un concert, comme ça, en claquant des doigts - t'es encore tout seul pour t'occuper des jumelles ?

Saï : Exactement.

Mais tu sais que c'est pas sa faute si son travail est demandant ?

Saï : Donc je dois gentiment laissé ma propre carrière de côté et laissé leur deuxième père vivre pleinement la sienne ?

Pauvre chou, la vie est pas toujours simple et juste.

Saï : Et je devrais rien dire ?

Tu crois que le mec qui fait une attaque cardiaque en plein milieu du parc peut attendre que ton copain se soit occupé de ses filles ? Non. Par contre, tes fans peuvent attendre que t'ais le temps de lancer une tournée, s'iels sont respectueux et respectueuses face au fait que tu ais à charge deux enfants en bas âge.

Saï : ...

Voilà. Ça fait un bail que ta fille rose dort, hein, va dormir aussi. Ou jouer de la guitare, que sais-je.

Saï : Grmlb.

Bien dormi, j'espère ?

Saï : ...

Je sais, Gebriel pourrait t'aider.

Saï : Mais il entend rien ? Ça va pas le tuer de se lever pour leur donner le biberon !

Si tu mettais des piles dans le babyphone... ? Je dis ça juste comme ça, hein...

Saï : Je les entends, moi, et je suis pas un petit dormeur !

T'as fini de te plaindre ? Si t'es vraiment très fatigué, tu ne les entendras pas. Gebriel est vraiment très fatigué, il a passé sa nuit a enchaîné les urgences aux quatre coins de la ville. Et arrête de lever le ton, tu les fait pleurer encore plus fort.

Saï : Hum. Je vais chercher leur biberons.

Bien.

... sinon, tu noteras que c'est presque l'été. Et que pas une fois la chaleur n'a repris le dessus.

Saï : Cool. Je m'en fout.

... d'accord.

Allons voir ce que le roux fait...

Gebriel : Vous voulez pas arrêter de bouger ? Vous ne sentirez rien.

Monsieur tout gris : Vous croyez que je suis né de la dernière pluie, jeune homme ? J'en ai vu, des médecins, qui vous disaient que ça ne ferait pas mal, mais qui vous arrachait le bras dans la douleur !

Gebriel : ... c'est qu'une petite piqûre, je suis pas en train de vous casser les côtes.

Monsieur tout gris : À d'autres ! Lâchez mon bras ! À l'aide, on m'agresse !

Gebriel : ... non mais ça va pas ? Si vous êtes pas content, vous n'avez qu'à ne pas le demander, votre vaccin. Rentrez chez vous, on en reparlera le jour où vous tomberez malade.

... et bien, moi, je comprends le monsieur : j'aime pas les aiguilles, et encore moins si elles ressemblent à celle-là...

Ah ?

Saï : J'ai demandé à la voisine si elle pouvait les garder le temps d'une soirée, j'en pouvais plus de rester enfermé dans la nursery à longueur de journée.

Et Gebriel ?

Saï : Au travail, comme quoi quelqu'un a fait un malaise, je sais pas trop...

Okay... bien, bon concert, hein. Et tombe !

Saï : T'arrêtes, un peu ?

Jamais. Ja-mais.

... wait, tu la connais, cette voisine ?

Saï : Tu crois que j'aurais laissé mes filles à une pure inconnue ?

Mais je t'ai jamais vu lui parler...

Saï : Ça veut pas dire que je l'ai jamais fait.

Saï : Chuuut, papa est rentré, tout va bien. Viens me faire un câlin. Voilààà, tout va mieux avec un câlin. Allez, tu vas rester sage pendant que je m'occupe de ta soeur, hein ?

T'es trop chou.

Saï : Merci ?

Je m'attendais pas à une réponse, tu sais...

Ton stupide copain vient de me confirmer que je ne veux pas d'enfant... moi j'me barre, hein, débrouillez-vous avez les bébés.

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Ayé, j'ai mon scénar pour la deuxième génération (depuis que j'ai décidé que y'aurait que deux enfants, en fait, donc un sacré bail, mais c'est qu'un détail) ! Rien qui mettrait le honte à un grand scénariste, mais je voulais absolument en parler à travers mes Sims, alors voilà :3

Màj 15

Màj 17